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Actualités

DSC08731Janvier 2015 a marqué le début d’une nouvelle saison pour « Ma planète H2O ». Cette année, 15 classes de Nice, Cagnes-sur-mer et Carros vont participer aux trois séances d’une demi-journée chacune pour s’amuser, échanger et apprendre sur le thème de l’eau.

Une dizaine de classes du CE1 au CM2 ont déjà découvert l’Eau dans la Nature, sa petite histoire, ses caractéristiques, son cycle sur Terre et enfin son importance pour notre corps.

Grâce aux conseils et aux remarques de l’ensemble de l’équipe d’Acroporis, Quentin a développé le contenu des deux premières séances et prépare déjà activement, en concertation avec les instituteurs, la valorisation des connaissances acquises pendant celles-ci et qui prendra la forme d’un jeu de société, d’un après-midi d’expériences ou d’une œuvre de « land art » lors d’une troisième et dernière séance.

Rapport Tumbak : inventaire opistobranchesUn groupe de bénévoles, encadré par Pierre BOUYGES de Solidarité Plongée, Guenièvre DICEV d'Acropris et organisé par Yoan PARIZOT de Sulawesi Island Adventure, a recueilli des données et rendu un excellent rapport que vous pouvez consulter et télécharger ici.

Les principaux objectifs de ce séjour à Tumbak (Indonésie, Nord Sulawesi) du 18 au 24 avril 2014, étaient de :

  • améliorer les connaissances sur la composition du peuplement des mollusques gastéropodes opistobranches des sites sous-marins situés au large du village, dans un rayon de 3,5 km ;
  • améliorer les connaissances sur la délimitation et la topographie de ces mêmes sites.

Un grand merci à Pierre, Guenièvre, Yoan et toute l'équipe de bénévoles, et à bientôt à Tumbak !

Charlie

Toute l’équipe d’Acroporis a été touchée et émue
par les tristes évènements qu’a subi la France.

En hommage à toutes les victimes et à la défense de notre précieuse liberté d’expression, nous souhaitions vous partager le dessin de notre dessinatrice Laurence Moussel.

Grâce à son talent, elle nous délivre à travers ce dessin un message d’espoir pour 2015 et les années à venir, où nous devons tous continuer à relever les défis pour nos sociétés mais également persévérer dans la protection de notre environnement.

Exposition

L’équipe d’Acroporis a été conviée au vernissage de l’exposition anniversaire « Escale au bout du monde : les terres australes et antarctiques françaises » qui s’est tenu le mercredi 17 décembre 2014 à l’Aquarium Tropical de la Porte Dorée.

afficheeabdmCette exposition est l’occasion de découvrir ces territoires français du bout du monde composés d’archipels, d’îles et de portions continentales, tous uniques écologiquement et présentant une biodiversité remarquable.

De part leur isolement dans des conditions extrêmes et une faible anthropisation, ces TAAF (Terres Australes et Antarctiques Françaises) ont pu maintenir leurs états originels et suscitent encore des rêves d’évasions.

Patrimoine unique, ces territoires présentent une grande valeur scientifique, stratégique, économique et environnementale. La France s’est ainsi portée garante auprès de la communauté internationale de la préservation de ces îles, derniers sanctuaires de notre planète.

Evadez-vous dans ces contrées lointaines le temps d’une visite, et découvrez aussi l’histoire singulière d’hommes et de femmes qui  participent à maintenir une présence française et à préserver la plus grande réserve naturelle de la France et la plus grande zone humide protégée d’Europe.

Exposition à l’Aquarium Tropical de la Porte Dorée 
Escale au Bout du Monde
Décembre 2014 – juin 2015
www.aquarium-portedoree.fr

recif frangeant

Dans "The Guardian" vous pouvez lire un article sur les résultats de recherches du "James Cook University" sur la  capacité du coraill à s'adapter au réchauffement climatique.

Il est sujet de la possible adaptation de jeunes pousses de corail d'Acropora cervicornis ou Corail corne de cerf, espèce clé bâtisseuse de récifs dans le Pacifique et l'Océan Indien.
 
Au vu des résultats des expériences en laboratoire, les chercheurs ont pu observer que les boutures de jeunes pousses d'Acropora cervicornis arrivaient à s'adapter à un stress précis : l'exposition de longue durée à de forte concentration en CO2 même plus forte que les valeurs actuelles relevées dans les océans. Il existe ainsi un potentiel de résilience chez les jeunes pousses de corail face à la simulation du phénomène d'acidification des océans.
 
Cette adaptation est le résultat du réajustement de l'expression de certains gènes identifiés par ces chercheurs. Ainsi, si les jeunes pousses de corail faisaient face à ce stress assez tôt dans leur croissance, elles pourraient s'adapter dans des milieux à forte teneur en CO2, et suggérer que les coraux pourraient "supporter" le phénomène d'acidification des océans.

Une exposition à long terme semble être moins préjudiciable à la santé des coraux que ce que nous avions pu supposer avec des études faites sur du court-terme.

« Cette étude suggère que les bébés coraux ont la capacité de s'acclimater à une élévation du dioxyde de carbone » explique Aurélie Moya.
 
Néanmoins, les chercheurs émettent tout de même des réserves quant à la tolérance des coraux face à des stress multifactoriels et combinés tels que l'augmentation du CO2 couplée au réchauffement des océans...

Cet article vient renforcer deux convictions d'Acroporis: tout d'abord, il est encore temps de se battre pour les récifs coralliens! Certes l'acidification des océans associée à l'augmentation de la concentration de CO2 dans l'atmosphère menace la survie même du corail dans nos mers, mais on peut encore croire aux capacités de la nature de nous surprendre et de trouver des formes d'adaptation. De plus, pour maximiser les chances de survie et la capacité de résilience des coraux, il faut limiter les sources de stress et donc agir au niveau local pour trouver des solutions à l'épanouissement des récifs dans de bonnes conditions. Donc ne baissons pas les bras devant les défis globaux qui nous dépassent individuellement, et continuons à agir, y compris localement, pour protéger ce que nous aimons.A lire ici

Félicitations d'Acroporis à toute l'équipe de recherche et particulièrement à Aurélie, qui nous fait la joie de partager un bout de chemin avec nous.

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